Marche des Lumières

Aujourd'hui beaucoup de grandes lignes droites interminables sous la pluie, dans la traversée de la forêt de Fontainebleau.

Arrivé à Melun

Ce soir, bonne surprise. Alors que je m'apprêtais à aller à un camping à plus d'un km et planter la tente sous la pluie, j'ai reçu un appel tel de Lydia qui avait été informée par le réseau des verts de mon passage. Elle habite tout proche de Melun, j'ai donc pu prendre une vraie douche et j'ai un vrai lit. Vraiment super et grand merci à Lydia une femme très engagée et généreuse.

Sur mon parcours entre Nemours et Fontainebleau environ 16km le monument en hommage à Georges Mandel.

Arrivé à Fontainebleau. Le château je suis rentré dans la cour pour m'abriter de la pluie et casser la croûte

A mon arrivée à Nemours, j'ai été hébergé par Samir, un bon vivant adorable.

Étape plutôt longue, 24 kilomètres le long des canaux. Je suis passé par trois canaux: Le canal de Briare Le canal d'Orléans Le canal du Loing Arrivée à Souppes sur Loing

Petite étape de 17 kilomètres. A mon arrivé à Montagis j'ai revu les Canadiens rencontré à Briare. Ils remontent à Paris en vélo.

Longue étapes de 26 kilomètres. Je me suis mal orienté et sans Jaques qui m'a sauvé d'une très grande fatigue en me remettant sur la bonne route, c'est plus de 35 kilomètres que j'aurais parcouru à mon arrivé à Nogent sur Vernisson. Merci à toi Jacques. une fort belle rencontre

Petite étape aujourd'hui 11 kilomètres dans le Loiret? Un loupé avec la mairie. Une adjointe devait assisté à mon départ mais l'information est mal passé. On lui avais annoncé mon départ pour 9h30 alors que je suis partis à 9h00. Dans le camping de Briare, plein de rencontre. Les gens viennent à moi spontanément en voyant ma bannière. Les personnes rencontrées sont plutôt d'accord avec les raisons de ma marche

19 kilomètres à travers la Nièvre et le Loiret. Journée très chaude. Arrivé à Bonny sur Loire catastrophique. J'avais perdu ma bannière et je n'avait pas le moral. Après avoir planté ma tente dans le camping sur un emplacement mis à disposition gracieusement par la mairie, bu un demi panaché et mangé une glace, je suis repartis en sens inverse pour essayer de retrouver ma bannière. Sans ma bannière, c'est comme si j'était tout nu. C'est l'outil essentiel de communication de la marche. Je l'ai retrouvé au bout de 5 kilomètres accrochée à une ronce, là ou j'avais cueilli quelques mûres. Ma gourmandise me perdra. 5 kilomètres aller et 5 kilomètres retour, c'est 30 kilomètres que j'ai marché aujourd'hui.

Étape de 17 kilomètres dans la Nièvre encore. A mon arrivé à Cosne sur Loire un journaliste du journal régional m'attendais. Il m'avais contacté quelques jour avant. Il a été très à l'écoute des raison de ma marche.

19 kilomètres toujours dans la Nièvre aujourd'hui. Arrivé à Pouilly sur Loire, je m'installe au camping. Un campeur attablé devant une bouteille de blanc nous invite, les suisses avec lesquels je discutait et moi-même à sa table. "On ne boit pas un bon vin tout seul" nous dit-il. J'ai goûté au Pouilly